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EL Niño ? Croyez-moi, on n'a pas fini d'en parler !

Publié le par André MARINI

L'année 2023 a été la plus chaude jamais enregistrée et 2024 commence en suivant la même tendance. La fin annoncée du phénomène El Niño, qui réchauffe naturellement la planète, pourrait infléchir cette orientation.

Pourtant, le dérèglement climatique pousse toujours plus vers la surchauffe et cause des dommages irréversibles.

EL Niño ? Croyez-moi, on n'a pas fini d'en parler !

Un hiver déjà record. Les trois derniers mois ont été les plus chauds jamais enregistrés dans le monde, a annoncé ce jeudi 7 mars l'observatoire européen COPERNICUS.

Après une année 2023 record, avec 14,98 °C de moyenne sur l'ensemble du globe, 2024 commence dans la chaleur.

Le mois de février est 1,77°C au-dessus d'un février moyen sur la période 1850-1900.

"Ce n'est pas une surprise pour les climatologues car ces températures sont dans la gamme des possibles des projections climatiques, en raison du réchauffement planétaire et du phénomène El Niño", confie Françoise Vimeux, climatologue à l'institut de Recherche pour le Développement.

EL Niño ? Croyez-moi, on n'a pas fini d'en parler !

"On est sur la fourchette haute des prévisions du GIEC , ajoute Davide Faranda, climatologue au CNRS, qui déplore "des mauvaises nouvelles".

Les émissions de gaz à effet de serre continuent d'augmenter

En effet, "la première cause, c'est le changement climatique", décrit-il. Et alors que  les émissions de gaz à effet de serre liées aux activités humaines et à l'exploitation des énergies fossiles continuent, la tendance va se poursuivre pour cette année 2024.

EL Niño ? Croyez-moi, on n'a pas fini d'en parler !

"Les gaz à effet de serre qui emprisonnent la chaleur sont sans équivoque le principal responsable" de ces températures extrêmement élevées, affirme d'ailleurs l'Organisation météorologique mondiale (OMM), rattachée à l'ONU.

Les émissions dans l'atmosphère ont atteint un nouveau record en 2023.

El Niño a atteint son pic

Outre le réchauffement climatique, les températures record de l'année dernière peuvent s'expliquer par les oscillations naturelles du climat, et notamment par le phénomène EL NINO.

Il se traduit par un réchauffement d'une grande partie du Pacifique tropical et se produit généralement tous les deux à sept ans pour durer entre neuf et 12 mois.

El Niño induit en moyenne une hausse des températures moyenne de 0,1 ou 0,2°C à l'échelle de la planète et augmente le risque d'événements climatiques extrêmes dans de nombreuses régions.

EL Niño ? Croyez-moi, on n'a pas fini d'en parler !

Le phénomène a atteint son pic en décembre. "L'intensité de l'événement diminue même s'il est toujours présent", explique Françoise Vimeux. En effet, selon les projections, il pourrait s'arrêter vers la fin du printemps ou à l'été, même si son impact pourra ensuite encore perdurer quelques mois.

"Il y a environ 60% de chances qu'El Niño persiste entre mars et mai et 80% de chances que des conditions neutres soient observées d'avril à juin", a indiqué l'OMM, qui prédit des températures au-dessus de la normale entre mars et mai sur la terre ferme.

Des océans bouillonnants

Les données de Copernicus publiées ce jeudi mettent également en lumière une autre problématique qui pourrait avoir un impact durable sur les températures de 2024.

La température moyenne des océans qui recouvrent 70% de la Terre, a atteint un nouveau record absolu, tout mois confondus, avec 21,06°C enregistrés en février à la surface des mers (hors zones proches des pôles).

Les scientifiques observent des canicules marines inédites dans l'Atlantique nord. Cet océan a connu "un effet atmosphérique qui est venu s'ajouter au réchauffement climatique", avec "moins de vent donc moins de refroidissement et plus de chauffage direct de l'atmosphère", détaille à l'AFP Juliette Mignot, océanographe à l'Institut de recherche pour le développement.

EL Niño ? Croyez-moi, on n'a pas fini d'en parler !

En outre, ce réchauffement menace directement la vie marine et peut réduire les capacités d'absorption de nos émissions de gaz à effet de serre dans les mers, puits de carbone qui absorbent 90% de l'excès d'énergie de l'activité humaine.

"Des dommages irréversibles"

"Il y a de fortes chances que ce soit encore une année très chaude même si cela est difficile à prévoir", abonde Davide Faranda.

EL Niño ? Croyez-moi, on n'a pas fini d'en parler !

Publié dans Notre univers

Heureusement, jupiter est là pour protéger notre sytème solaire

Publié le par André MARINI

Même les amateurs peuvent avoir leur heure de gloire en astronomie ! Grâce à des données récupérées par des observateurs japonais, nous avons pu observer des images d’un étrange impact qui a eu lieu à la surface de Jupiter. On ne sait pas encore d’où vient le corps céleste en question.

Heureusement, jupiter est là pour protéger notre sytème solaire

Savez-vous que si l’on additionne les masses de toutes les planètes du Système solaire, nous n’avons qu’un tiers de la masse de Jupiter ? Plus grand astre de notre petit monde cosmique, la planète gazeuse fait en effet deux fois et demie le total des masses des autres planètes.

Heureusement, jupiter est là pour protéger notre sytème solaire

Forcément, plus on est gros, plus on a de chance d’intercepter les objets alentour. Sa masse imposante lui conférant également une forte attraction gravitationnelle, Jupiter est régulièrement frappé par des astéroïdes et autres comètes. La ceinture d’astéroïdes autour de Jupiter joue pour beaucoup également.

Heureusement, jupiter est là pour protéger notre sytème solaire

Mais ne nous en plaignons pas car l’attraction gravitationnelle du système jovien protège en fait l’ensemble de notre système solaire en absorbant les potentiels astéroïdes dangereux pour nous.

Le 29 août dernier un petit corps céleste a justement frappé la planète orange.

Heureusement, jupiter est là pour protéger notre sytème solaire

Un puissant jet de lumière dans l’atmosphère de Jupiter

Ce sont des astronomes amateurs japonais qui ont réussi à observer l’impact. En effet, à 1 h 45 du matin (heure du Japon), ces derniers ont observé comme un éclair particulièrement lumineux à la surface de Jupiter.

Comme nous pouvons le voir sur les images diffusées par le compte affilié au projet OASES (Organized Autotelescopes for Serendipitous Event Survey), nous voyons en effet un puissant jet de lumière sur l’hémisphère nord de la planète gazeuse.

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DEFORESTATION EN AMERIQUE DU SUD : IL ETAIT TEMPS !

Publié le par André MARINI

Huit pays amazoniens ont ENFIN signé ce mardi une déclaration commune mentionnant la création d'une alliance pour combattre la déforestation et éviter d'atteindre "le point de non retour".

Ce qu'il fait savoir est que la forêt amazonienne représentait 1/3 du poumon de la planète. Cette "voie" fait 3.000 km de long mais son extension amène aujourd'hui sa largeur à 45 kilomètres.

DEFORESTATION EN AMERIQUE DU SUD : IL ETAIT TEMPS !

Il s'agit des huit pays membres de l'Organisation du traité de coopération amazonienne (OTCA), créée en 1995 dans le but de préserver cette vaste région qui abrite environ 10% de la biodiversité mondiale.

L'alliance "a pour but de promouvoir la coopération régionale dans le combat contre la déforestation, pour éviter que l'Amazonie n'atteigne le point de non retour".

Si ce point de non-retour était atteint, l'Amazonie émettrait plus de carbone qu'elle n'en absorberait, ce qui aggraverait le réchauffement de la planète.

Au-delà des discours

Le sommet s'est ouvert le jour où le service européen Copernicus confirmait que le mois de juillet a été le plus chaud jamais enregistré sur terre.

"Il n'a jamais été aussi urgent de reprendre et d'étendre notre coopération", a déclaré le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva dans son discours d'ouverture, évoquant un "nouveau rêve amazonien".

Son homologue colombien Gustavo Petro a pour sa part appelé à ce que les discours se traduisent en actes concrets au plus vite.

"Si nous sommes au bord de l'extinction, si c'est lors de cette décennie qu'il faut prendre des décisions, que sommes-nous en train de faire, à part des discours ?".

 

DEFORESTATION EN AMERIQUE DU SUD : IL ETAIT TEMPS !

De retour au pouvoir en janvier, Lula s'est engagé à mettre un terme d'ici 2030 à la déforestation, qui a fortement augmenté sous le mandat de son prédécesseur d'extrême droite Jair Bolsonaro.

Les terres déboisées sont souvent transformées en pâturage pour le bétail, mais la destruction est également causée par des orpailleurs et des trafiquants de bois.

Divergences sur le pétrole

Mais le président colombien Gustavo Petro a affirmé que la "déforestation zéro" serait "insuffisante".

"La science nous a montré que même si on recouvre le monde entier d'arbres, ça ne suffira pas à absorber les émissions de CO2 (...). Il faut abandonner les énergies fossiles", a-t-il insisté.

Selon lui, cette responsabilité est avant tout "des pays du nord", tandis que "nous (les pays amazoniens) devons protéger l'éponge", comme il décrit la forêt tropicale.

Mais cette transition énergétique est un sujet plus sensible pour d'importants producteurs d'hydrocarbures de la région amazonienne, comme le Venezuela ou le Brésil.

Cette question a également été abordée le week-end dernier, lors d'une rencontre de représentants de la société civile à Belem intitulée "Dialogues Amazoniens", avec des manifestations réclamant une "Amazonie libre de pétrole".

Ces mots d'ordre sont réapparus mardi, lors d'un cortège qui a rassemblé environ 1500 personnes dans les rues de Belem, dont des militants indigènes, qui brandissaient des banderoles avec des messages comme "Nous sommes ici depuis toujours".

"Si l'on ne met pas fin à la déforestation, nous devront faire face à des problèmes bien plus graves", a confié lundi à l'AFP le chef indigène emblématique Raoni Metuktire.

DEFORESTATION EN AMERIQUE DU SUD : IL ETAIT TEMPS !

Les pays sud-américains d'Amazonie ont décidé mardi de créer une alliance pour combattre la déforestation, dans une déclaration commune publiée lors d'un sommet organisé dans la ville brésilienne de Belém (nord).

Cette alliance "a pour but de promouvoir la coopération régionale dans le combat contre la déforestation, pour éviter que l'Amazonie n'atteigne le point de non retour", peut-on lire dans cette déclaration signée par le Brésil, la Bolivie, la Colombie, l'Équateur, le Guyana, le Pérou, le Suriname et le Venezuela.

DEFORESTATION EN AMERIQUE DU SUD : IL ETAIT TEMPS !

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La Niña nous a quittés, El Niño est revenu !

Publié le par André MARINI

La Niña est un phénomène climatique ayant pour origine une anomalie thermique des eaux équatoriales de surface de l'océan Pacifique et est caractérisée par une température anormalement basse de ces eaux qui est favorable à un refroidissement local. 

La Niña nous a quittés, El Niño est revenu !

Le phénomène climatique saisonnier qui atteint son apogée vers Noël est nommé El Niño et ses conséquences maritimes et climatiques sont globalement l'inverse de celles de La Niña.

La Niña nous a quittés, El Niño est revenu !

Le phénomène météorologique El Niño, généralement associé à une augmentation des températures mondiales, a commencé et se poursuivra toute l’année à une intensité qui devrait être « au moins modérée », a annoncé l’Organisation des nations unies (ONU).

El Niño se produit en moyenne tous les deux à sept ans, et les épisodes durent généralement de neuf à douze mois.

 Après 3 ans d'absence, il est de retour mais l’épisode actuel « s’inscrit dans le contexte d’un climat modifié par les activités humaines ».

La Niña nous a quittés, El Niño est revenu !

Les impacts de El Niño en Europe induit des canicules en été et des précipitations plus fortes sur le pourtour méditerranéen au début de l'automne.

Les hivers deviennent plus secs et plus froids dans le nord de l’Europe.

Le phénomène El Niño peut influencer le climat européen à travers le phénomène de télécorrélation  atmosphérique, modifiant la répartition de la pression dans notre hémisphère.

En conclusion, les prévisions météorologiques de El Niño en Europe prévoit des vagues de chaleur et des orages en période estivale, des périodes très pluvieuses en automne et des hivers plus rigoureux.

Pour les vagues de chaleur et les orages, nous avons donné mais il faut savoir que le phénomène s'intensifie l'année qui suit son retour.

La Niña nous a quittés, El Niño est revenu !

Pourquoi nomme-t-on ainsi ce phénomène climatique ?

Tout simplement parce que ce phénomène s'intensifie à l'approche de Noël.....comme est apparu l'enfant Jésus !

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AURORE BOREALE ET OURAGAN SPATIAL

Publié le par André MARINI

Aurore boréale : un orage géomagnétique lié aux aurores polaires.

AURORE BOREALE ET OURAGAN SPATIAL

Une aurore boréale est un orage géomagnétique qui se produit au-dessus de l’ionosphère polaire de la Terre.

Ce phénomène est provoqué par l’interaction entre les vents solaires et le champ magnétique terrestre.

Les vents solaires sont des flux d’ions et d’électrons expulsés de l’atmosphère du Soleil à plus de 2 000 kilomètres par seconde.

Lorsque ces flux rencontrent la magnétosphère de la Terre, une partie des particules chargées est captée par les lignes du champ magnétique. Ces particules restent piégées au niveau du pôle terrestre, excitant les atomes d’oxygène de l’ionosphère (haute atmosphère, située entre 60 et 1 000 kilomètres d’altitude).

Les atomes se débarrassent de ce trop-plein d’énergie en émettant un photon.

Ce phénomène lumineux est connu sous le nom "aurore boréale" dans l’hémisphère nord.

AURORE BOREALE ET OURAGAN SPATIAL

Les aurores polaires se produisent lors d’éruptions solaires importantes. Lorsque les vents solaires sont très rapides, ils ne changent pas de trajectoire. En revanche, une activité solaire et géomagnétique calme permet aux vents solaires de tourner avec le champ magnétique terrestre, formant un ouragan solaire.

En entrant dans la magnétosphère, les vents solaires se mettent à tourner, formant un vortex de plusieurs dizaines de milliers de kilomètres d’altitude.

La partie du vortex se trouvant dans l’ionosphère prend la forme d’une spirale à plusieurs bras tournant dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.

L’ouragan est centré sur le pôle magnétique de la Terre, avec un œil en son centre, comme dans le cas d’un cyclone tropical. Dans cet œil, des aurores polaires se forment, mais remontent vers l’espace : les électrons "pleuvent", puis repartent par l’œil de l’ouragan.

AURORE BOREALE ET OURAGAN SPATIAL

Mais l'ouragan spatial, qu'est-ce c'est ?

2021 : découverte du premier ouragan spatial

En 2014, des chercheurs de l’université du Shandong, en Chine, détectent de grandes quantités de plasma entrant dans la magnétosphère.

En plus de durer 8 heures, le phénomène se produit au-dessus du pôle Nord, ce qui les porte à croire qu’il ne s’agit pas de simples aurores polaires.

En effet, celles-ci, visibles dans la zone arctique, ne durent généralement que quelques minutes.

AURORE BOREALE ET OURAGAN SPATIAL

Ce n’est qu’en 2021 que les chercheurs, après avoir collecté de nombreuses données, rendent leur verdict : ce qu’ils ont observé était un ouragan spatial.

AURORE BOREALE ET OURAGAN SPATIAL

D’un diamètre de 1 000 kilomètres, l’ouragan était situé entre 110 et 860 kilomètres d’altitude, et tournait dans le sens antihoraire à la vitesse de 2 kilomètres par seconde.

 Cet outil vous permet de découvrir quels seront les effets du changement climatique autour de vous en 2050

Malgré sa taille et sa puissance phénoménales, l’ouragan spatial de 2014 n’était pas visible à l’œil nu.

L’ouragan a en effet eu lieu pendant l’été boréal, c’est-à-dire durant la période où le pôle Nord est exposé à la lumière du Soleil. Aucun cliché n’a pu être pris, faute de nuit.

Les scientifiques ont néanmoins pu observer le phénomène à travers des relevés. Comme les aurores boréales, l’ouragan spatial bloque les fréquences radio passant à travers la haute atmosphère.

En plus d’affecter le fonctionnement des appareils de télécommunication, un ouragan est donc susceptible de réchauffer l’atmosphère, ce qui perturberait l’orbite des satellites.

Il est probable que l’ouragan spatial observé en 2014 ne soit ni le premier ni le dernier. Les scientifiques estiment que ce phénomène peut aussi se produire sur d’autres planètes dotées d’un champ magnétique.

AURORE BOREALE ET OURAGAN SPATIAL

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COMMENT L'EAU EST-ELLE APPARUE SUR NOTRE TERRE ?

Publié le par André MARINI

C’est un débat qui anime les passionnés depuis très longtemps : comment l’eau est-elle apparue sur la Terre ?

Grâce à une récente découverte, les experts seraient sur le point de pouvoir l’expliquer.

 
COMMENT L'EAU EST-ELLE APPARUE SUR NOTRE TERRE ?

L’apparition de l’eau sur la Terre demeure l’un des plus grands mystères scientifiques.

Deux théories s’affrontent :

-Celle qui suggère que la Terre se serait formée avec de l’eau

-Celle qui affirme au contraire que le précieux H2O aurait une origine extraterrestre.

Une récente découverte vient apporter de la matière au débat grâce à des éléments concrets.

Apparition de l’eau sur Terre

Elle a beau s’appeler Terre, c’est principalement d’eau qu’est recouverte notre planète.

À 70% de sa surface plus exactement.

Et si depuis des siècles, quantité de mystères ont trouvé une explication scientifique, celui autour de l’apparition de cette eau, et par extension de la vie, reste entier.

Depuis toujours, deux écoles s’affrontent.

-Les partisans d’une eau aux origines extraterrestres, amenée sur Terre via une collision,

-Les partisans d’une théorie affirmant qu’au contraire, la Terre serait née avec de l’eau.

 

COMMENT L'EAU EST-ELLE APPARUE SUR NOTRE TERRE ?

Si les scientifiques sont aussi divisés, c’est parce qu’aussi incroyable que cela puisse paraitre, sur le papier, les deux théories se valent.

 

De l’eau, dans l’Univers, il n’y en a pas qu’un peu.

On en trouve sur Mars,

sur la Lune

et même dans certaines comètes,

   ............sous forme gelée.

En 2015 également, des observations ont permis de révéler qu’un océan plus vaste que tous ceux de notre planète réunis, se trouvait dans les entrailles de la plus grosse lune de Jupiter : Ganymède.

Pour les chercheurs qui appuient cette théorie, l’idée même que l’eau soit apparue au moment de la formation de la Terre a une limite.

Les températures élevées auraient empêché la condensation de la vapeur d’eau.

Pourtant, une découverte récente est venue apporter un chainon manquant à l’une de ses deux hypothèses, au détriment de l’autre.

 

COMMENT L'EAU EST-ELLE APPARUE SUR NOTRE TERRE ?

De la vapeur d’eau détectée dans un système planétaire lointain

C’est en Allemagne que la découverte a été faite.

Aidés du télescope spatial James Webb, Giulia Perotti et ses collègues de l’Institut Max-Planck d’astronomie, ont eu la bonne surprise de découvrir la présence de vapeur d’eau dans un système solaire lointain.

Cette région où des exoplanètes rocheuses sont en formation est située à environ 400 années-lumière de la Terre.

PDS70, notre référence !

L’étoile de ce système est PDS 70. 

"PDS 70 est une étoile similaire à notre soleil, juste plus jeune et plus fraîche",

déclare Perotti. 

"En l'observant, nous pouvons remonter dans le temps et comprendre comment les planètes de notre système solaire se sont formées".

 
 

Âgée de seulement 5,4 millions d'années, PDS 70 est une étoile très jeune, encore entourée de son disque xircumstellaire. Son observation par l'instrument SPHERE permet d'assister à la formation d'une PLANETE GEANTE GAZEUSE appelée PDS 70 b

 — de plusieurs fois la masse de Jupiter et éloignée de 22 fois la distance terre-soleil.

C'est une occasion précieuse d'observer une planète naissante. Son atmosphère, d'une température de 1 000 °C, est recouverte de nuages.

COMMENT L'EAU EST-ELLE APPARUE SUR NOTRE TERRE ?

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Le changement climatique pourrait causer la mort d'un milliard de personnes au XXIe siècle.

Publié le par André MARINI

Selon une synthèse d'articles récents sur le taux de mortalité causé par le changement climatique, un milliard de personnes pourraient disparaître au XXIe siècle.

Mais le lien entre les décès et le changement climatique n'est pas toujours aisé à quantifier.

Le changement climatique pourrait causer la mort d'un milliard de personnes au XXIe siècle.

C'est la prévision alarmante contenue dans une analyse publiée récemment, et relayée par le site Sciencealert.

Au total, la synthèse porte sur 180 articles scientifiques portant sur le taux de mortalité liée au changement climatique.

Le modèle prospectif déterminé par les scientifiques a intégré différentes hypothèses, notamment celle des "1 000 tonnes".

Cette hypothèse stipule le décès d'une personne lorsque 1 000 tonnes de carbone sont consumées.

"Si l'on prend au sérieux le consensus scientifique sur la règle des 1 000 tonnes et que l'on fait des calculs, le réchauffement climatique équivaut à un milliard de cadavres prématurés au cours du prochain siècle"

 
Le changement climatique pourrait causer la mort d'un milliard de personnes au XXIe siècle.

Dans son dernier rapport, publié en mars dernier, le Groupement intergouvernemental d'experts sur le climat (GIEC) avait prédit que les températures moyennes augmenteraient de + 1,5 degré en 2030.

Au-delà de ce seuil, les conséquences sur le vivant sont irréversibles.

Dans la récente synthèse, les scientifiques associent une croissance de 0,1 degré de réchauffement à près de 100 millions de morts.

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Le changement climatique pourrait causer la mort d'un milliard de personnes au XXIe siècle.

Avouez tout de même qu'il n'y a pas de quoi être rassurés !

Le changement climatique pourrait causer la mort d'un milliard de personnes au XXIe siècle.

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D"APRES LES CHERCHEURS, LA VIE SUR MARS AURAIT ETE POSSIBLE !

Publié le par André MARINI

Découvertes sur les flancs du mont Sharp, situé au centre du cratère Gale, ces figures polygonales, à cinq, parfois six côtés, seraient vieilles de 3,8 milliards à 3,6 milliards d’années.

 
D"APRES LES CHERCHEURS, LA VIE SUR MARS AURAIT ETE POSSIBLE !

 "Ce sont les premières preuves tangibles que nous possédons et attestant que le climat passé de Mars avait des cycles saisonniers réguliers alternant sécheresse et humidité, similaires à ceux de la Terre", a déclaré l'auteur principal de l'étude, William Rapin du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS). "De tels cycles sont absolument nécessaires pour produire une évolution moléculaire pouvant conduire à la vie".

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